par Altior » dim. 31 déc. 2017, 14:26
pierrot2 a écrit : ↑sam. 30 déc. 2017, 15:15
Reste que ces rituels devaient avoir du sens, et que peut-être dans nos pratiques, ce sens est toujours perceptible, qui permettrait un approfondissement de notre foi. Auriez-vous cette grille de lecture, SVP, si toutefois ,au contraire, chercher ce sens ne provoque pas l'appauvrissement de notre foi
Sans doute, ces rituels avaient du sens. Le Peuple Elu de l'Ancien Testament, qui était le peuple juif, le sens était l'attente de Messie. Toutes les fêtes étaient ordonnées dans ce sens.
Mais il arrive que, depuis, Messie est venu. Pour le Peuple Elu du Nouveau Testament, qui est la Sainte Église Catholique, le sens de ces fêtes est accompli. Ne serait-il absurde de mettre le couvert en attente pour un convive qui nous a déjà rendu la visite, a déjà pris le repas avec nous, puis il est parti chez lui jusqu'à la fin du temps ?
Plus encore, il ne serait pas seulement absurde, il serait un peu un aveu que ce n'était pas le convive attendu, mais un charlatan qui a utilisé son nom et son titre.
Donc, à mon avis, un éventuel rétablissement des fêtes juives, au moins dans leur forme pratiquée pendant l'Ancien Testament, ne serait pas seulement un appauvrissement de notre foi, mais un risque de confusion, voire de dénaturation de notre foi dans sa proposition la plus fondamentale: Jésus est le Messie.
Pax et Bonum,
A.
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Reste que ces rituels devaient avoir du sens, et que peut-être dans nos pratiques, ce sens est toujours perceptible, qui permettrait un approfondissement de notre foi. Auriez-vous cette grille de lecture, SVP, si toutefois ,au contraire, chercher ce sens ne provoque pas l'appauvrissement de notre foi
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Sans doute, ces rituels avaient du sens. Le Peuple Elu de l'Ancien Testament, qui était le peuple juif, le sens était l'attente de Messie. Toutes les fêtes étaient ordonnées dans ce sens.
Mais il arrive que, depuis, Messie est venu. Pour le Peuple Elu du Nouveau Testament, qui est la Sainte Église Catholique, le sens de ces fêtes est accompli. Ne serait-il absurde de mettre le couvert en attente pour un convive qui nous a déjà rendu la visite, a déjà pris le repas avec nous, puis il est parti chez lui jusqu'à la fin du temps ?
Plus encore, il ne serait pas seulement absurde, il serait un peu un aveu que ce n'était pas le convive attendu, mais un charlatan qui a utilisé son nom et son titre.
Donc, à mon avis, un éventuel rétablissement des fêtes juives, au moins dans leur forme pratiquée pendant l'Ancien Testament, ne serait pas seulement un appauvrissement de notre foi, mais un risque de confusion, voire de dénaturation de notre foi dans sa proposition la plus fondamentale: Jésus est le Messie.
Pax et Bonum,
A.