par prisca » lun. 14 mai 2018, 13:17
Le postulat de départ est que ce chapitre aux Hébreux est bien de décrire ce que les apôtres font suivis des prêtres.
699 La main . C’est en imposant les mains que Jésus guérit les malades (cf. Mc 6, 5 ; 8, 23) et bénit les petits enfants (cf. Mc 10, 16). En son nom, les apôtres feront de même (cf. Mc 16, 18 ; Ac 5, 12 ; 14, 3). Mieux encore, c’est par l’imposition des mains des apôtres que l’Esprit Saint est donné (cf. Ac 8, 17-19 ; 13, 3 ; 19, 6). L’Épître aux Hébreux met l’imposition des mains au nombre des " articles fondamentaux " de son enseignement (cf. He 6, 2). Ce signe de l’effusion toute-puissante de l’Esprit Saint, l’Église l’a gardé dans ses épiclèses sacramentelles.
1288 " Depuis ce temps, les apôtres, pour accomplir la volonté du Christ, communiquèrent aux néophytes, par l’imposition des mains, le don de l’Esprit qui porte à son achèvement la grâce du Baptême (cf. Ac 8, 15-17 ; 19, 5-6). C’est pourquoi dans l’Épître aux Hébreux, prend place, parmi les éléments de la première instruction chrétienne, la doctrine sur les Baptêmes et aussi sur l’imposition des mains (cf. He 6, 2). L’imposition des mains est à bon droit reconnue par la tradition catholique comme l’origine du sacrement de la Confirmation qui perpétue, en quelque sorte, dans l’Église, la grâce de la Pentecôte " (Paul VI, const. ap. " Divinæ consortium naturæ ").
Et le postulât de départ est bien de dire ce par contre à quoi ils sont exposés s'ils manquent à leur devoir de prêtre.
Les prêtres signent un sacerdoce, c'est un engagement solennel.
2105 Le devoir de rendre à Dieu un culte authentique concerne l’homme individuellement et socialement. C’est là " la doctrine catholique traditionnelle sur le devoir moral des hommes et des sociétés à l’égard de la vraie religion et de l’unique Église du Christ " (DH 1). En évangélisant sans cesse les hommes, l’Église travaille à ce qu’ils puissent " pénétrer d’esprit chrétien les mentalités et les mœurs, les lois et les structures de la communauté où ils vivent " (AA 10). Le devoir social des chrétiens est de respecter et d’éveiller en chaque homme l’amour du vrai et du bien. Il leur demande de faire connaître le culte de l’unique vraie religion qui subsiste dans l’Église catholique et apostolique (cf. DH 1). Les chrétiens sont appelés à être la lumière du monde (cf. AA 13). L’Église manifeste ainsi la royauté du Christ sur toute la création et en particulier sur les sociétés humaines (cf. Léon XIII, enc. " Immortale Dei " ; Pie XI, enc. " Quas primas ").
Mais j'ai compris Carhaix pour vous que le péché est à vos yeux pardonnable, vous ne dites pas que les prêtres ne pêchent pas, vous dites qu'ils sont pardonnés.
Je vous réponds de mon côté que non, puisque le chapitre hébreux énonce ce à quoi ils sont exposés, et si, après avoir été prévenus, ils pèchent, ils sont blasphémateurs devant l'Eternel du fait qu'un péché qui ne peut pas recueillir Miséricorde puisque Dieu ne veut même pas qu'ils se donnent l'occasion de se repentir est considéré comme péché impardonnable, et puisqu'il n'y a que le Blasphème contre l'Esprit Saint qui est impardonnable, c'est donc celui là.
Le postulat de départ est que ce chapitre aux Hébreux est bien de décrire ce que les apôtres font suivis des prêtres.
699 La main . C’est en imposant les mains que Jésus guérit les malades (cf. Mc 6, 5 ; 8, 23) et bénit les petits enfants (cf. Mc 10, 16). En son nom, les apôtres feront de même (cf. Mc 16, 18 ; Ac 5, 12 ; 14, 3). Mieux encore, c’est par l’imposition des mains des apôtres que l’Esprit Saint est donné (cf. Ac 8, 17-19 ; 13, 3 ; 19, 6). L’Épître aux Hébreux met l’imposition des mains au nombre des " articles fondamentaux " de son enseignement (cf. He 6, 2). Ce signe de l’effusion toute-puissante de l’Esprit Saint,[b][u] l’Église l’a gardé dans ses épiclèses sacramentelles.[/u][/b]
1288 " Depuis ce temps, les apôtres, pour accomplir la volonté du Christ, communiquèrent aux néophytes, par l’imposition des mains, le don de l’Esprit qui porte à son achèvement la grâce du Baptême (cf. Ac 8, 15-17 ; 19, 5-6). C’est pourquoi dans l’Épître aux Hébreux, prend place, parmi les éléments de la première instruction chrétienne, la doctrine sur les Baptêmes et aussi sur l’imposition des mains (cf. He 6, 2). L’imposition des mains est à bon droit reconnue par la tradition catholique comme l’origine du sacrement de la Confirmation qui perpétue, en quelque sorte, dans l’Église, la grâce de la Pentecôte " (Paul VI, const. ap. " Divinæ consortium naturæ ").
Et le postulât de départ est bien de dire ce par contre à quoi ils sont exposés s'ils manquent à leur devoir de prêtre.
Les prêtres signent un sacerdoce, c'est un engagement solennel.
2105 Le devoir de rendre à Dieu un culte authentique concerne l’homme individuellement et socialement. C’est là " la doctrine catholique traditionnelle sur le devoir moral des hommes et des sociétés à l’égard de la vraie religion et de l’unique Église du Christ " (DH 1). En évangélisant sans cesse les hommes, l’Église travaille à ce qu’ils puissent " pénétrer d’esprit chrétien les mentalités et les mœurs, les lois et les structures de la communauté où ils vivent " (AA 10). Le devoir social des chrétiens est de respecter et d’éveiller en chaque homme l’amour du vrai et du bien. Il leur demande de faire connaître le culte de l’unique vraie religion qui subsiste dans l’Église catholique et apostolique (cf. DH 1). Les chrétiens sont appelés à être la lumière du monde (cf. AA 13). L’Église manifeste ainsi la royauté du Christ sur toute la création et en particulier sur les sociétés humaines (cf. Léon XIII, enc. " Immortale Dei " ; Pie XI, enc. " Quas primas ").
Mais j'ai compris Carhaix pour vous que le péché est à vos yeux pardonnable, vous ne dites pas que les prêtres ne pêchent pas, vous dites qu'ils sont pardonnés.
Je vous réponds de mon côté que non, puisque le chapitre hébreux énonce ce à quoi ils sont exposés, et si, après avoir été prévenus, ils pèchent, ils sont blasphémateurs devant l'Eternel du fait qu'un péché qui ne peut pas recueillir Miséricorde puisque Dieu ne veut même pas qu'ils se donnent l'occasion de se repentir est considéré comme péché impardonnable, et puisqu'il n'y a que le Blasphème contre l'Esprit Saint qui est impardonnable, c'est donc celui là.