par Cinci » mer. 28 mars 2018, 16:11
Bonjour,
NouvelleMoi a écrit :
Seulement je ne sais pas quelle dénomination choisir. Alors je voudrais avoir, si vous voulez bien, vos avis et arguments (que j'imagine, en faveur du catholicisme) et poser des questions par rapports à d'autres avis et arguments que j'ai pu avoir
Vous ne savez pas ? C'est simple : vous choisirez l'Église catholique.
Pour l'excellente raison qu'il s'agit de l'Église des saints et des martyrs, de l'Église qui fut fondée par le Christ en personne et dans laquelle ce dernier reste perpétuellement présent. Vous y ajouterez le fait qu'elle est la seule Église pouvant détenir la plénitude des moyens de salut et pratiquement la seule aussi pouvant vous donner les moyens vrais et efficaces de vous sanctifier.
Le problème du protestantisme c'est qu'il ne détient pas l'autorité magistérielle, en sus de s'y révéler incohérent avec ça, voulant choisir la Bible contre l'Église. Hélas ! en sacrifiant la sainte Église catholique, on supprime du coup, pour soi-même, toute possibilité de réaliser de vrais progrès dans l'ordre surnaturel, celui de la vie mystique, la connaissance plus intime de Dieu, des différents mystères et de leur articulation entre eux, etc.
En tant que chrétien, pour rien au monde je ne voudrais être séparé de l'Église des Thérèse d'Avila, Jean de la Croix, Vincent de Paul, François de Sales, de l'école française de spiritualité (Bérulle, Jean-Jaques Olier et cie) ... Thomas d'Aquin, François d'Assise ... Augustin ... les Athanase, Jean Chrysostome ... les Irénée et al.
Sans l'Église : on oublie la communion des saints, on ne peut rien faire soi-même en faveur des défunts, on ne peut ni aimer ni vénérer convenablement la Vierge Marie par un culte qui puisse lui être agréable mais alors agréable, entendons-nous, à la fois à Dieu et à elle-même.
Sans l'Église : il n'y a plus moyen d'être régénéré de façon certaine ni d'obtenir le pardon de Dieu, de l'obtenir déjà, de façon concrète, palpable, réelle; pas moyen de retrouver rapidement la grâce sanctifiante (précisément ce qui fait défaut aux incroyants, aux excommuniés, aux protestants entre autres) après l'avoir perdu.
Bonjour,
[quote][b]NouvelleMoi a écrit :[/b]
Seulement je ne sais pas quelle dénomination choisir. Alors je voudrais avoir, si vous voulez bien, vos avis et arguments (que j'imagine, en faveur du catholicisme) et poser des questions par rapports à d'autres avis et arguments que j'ai pu avoir
[/quote]
Vous ne savez pas ? C'est simple : vous choisirez l'Église catholique.
:)
Pour l'excellente raison qu'il s'agit de l'Église des saints et des martyrs, de l'Église qui fut fondée par le Christ en personne et dans laquelle ce dernier reste perpétuellement présent. Vous y ajouterez le fait qu'elle est la seule Église pouvant détenir la plénitude des moyens de salut et pratiquement la seule aussi pouvant vous donner les moyens vrais et efficaces de vous sanctifier.
Le problème du protestantisme c'est qu'il ne détient pas l'autorité magistérielle, en sus de s'y révéler incohérent avec ça, voulant choisir la Bible contre l'Église. Hélas ! en sacrifiant la sainte Église catholique, on supprime du coup, pour soi-même, toute possibilité de réaliser de vrais progrès dans l'ordre surnaturel, celui de la vie mystique, la connaissance plus intime de Dieu, des différents mystères et de leur articulation entre eux, etc.
En tant que chrétien, pour rien au monde je ne voudrais être séparé de l'Église des Thérèse d'Avila, Jean de la Croix, Vincent de Paul, François de Sales, de l'école française de spiritualité (Bérulle, Jean-Jaques Olier et cie) ... Thomas d'Aquin, François d'Assise ... Augustin ... les Athanase, Jean Chrysostome ... les Irénée et al.
Sans l'Église : on oublie la communion des saints, on ne peut rien faire soi-même en faveur des défunts, on ne peut ni aimer ni vénérer convenablement la Vierge Marie par un culte qui puisse lui être agréable mais alors agréable, entendons-nous, à la fois à Dieu et à elle-même.
Sans l'Église : il n'y a plus moyen d'être régénéré de façon certaine ni d'obtenir le pardon de Dieu, de l'obtenir déjà, de façon concrète, palpable, réelle; pas moyen de retrouver rapidement la grâce sanctifiante (précisément ce qui fait défaut aux incroyants, aux excommuniés, aux protestants entre autres) après l'avoir perdu.