par zelie » jeu. 01 août 2019, 19:12
Voilà, c'est exactement ce qu'en dit Cinci: à un moment, on a "opté" en notre âme et conscience pour la religion catholique parce que c'était une évidence, pas un effort de volonté ou d'adaptation surhumain. Ca coulait de source, chrétien de famille ou pas, que le catholicisme était la version la plus authentique de notre versant spirituel. Si cela n'avait pas été ainsi, nous serions tous devenus autre chose; protestant, musulman, pandorien, animiste, que sais-je... et en c'est le sens de toutes les conversions, les revirements, les reconversions; chacun cherche l'expression spirituelle la plus véritable pour lui, celle qui le prend en main et le fait avancer là où il en est, avec tous ses besoins fondamentaux, affectifs, psychologiques, intellectuel, et qui prend en compte sa mentalité là où elle en est.. On choisit la religion qui nous "rejoint" au plus profond de nous, même si cela passe par des tâtonnements et des re-conversions. Cette délicatesse de Dieu, cette compétence fine, à nous toucher au plus profond de notre être parce qu'il nous rejoint là où nous sommes, avec toutes les couleurs de notre combo culture/vécu, c'est le doigt de Dieu, et c'est la raison qui fait la multiplicité des rites.
Nous en avons un exemple frappant dans les protestants, cette partie des protestants si charismatiques. Ces gens qui louent, qui prient, qui chantent, qui imposent les mains en direct à la télé et qui guérissent les enfants qu'on leur amène... C'est une façon de prier, qui les rejoint et les comble, et leurs guérisons témoignent de leur amour réel pour Dieu, qui les accueille.
A coté, la messe chez le Père Verlinde, c'est pas la même... c'est la version bénédictine et intériorisée, avec chants en latin, d'une prière toute en silence et en légèreté de l'esprit... mais cette façon de prier, Dieu aussi l'agrée et leur envoie des malades...
Un protestant adepte des chants aura peut-être du mal à se sentir touché par une messe carmélite ou bénédictine, et vice-versa.
Mais pour en revenir à nous, c'est l'authenticité de notre personne que l'on retrouve dans tout le catholicisme, enseignement, dogmes et rite qui fait qu'aujourd'hui, nous sommes catholiques; parce que Dieu nous a touché à travers celle-là de religion.
Merci Cmoi de votre pastiche, j'ai trouvé ça bien mignon et bien plus paisible que mes interventions; je venais de lire le fil en vitesse, et ça m'énerve quand je vois un truc tourner en rond... j'ai vraiment des progrès à faire coté patience...
Voilà, c'est exactement ce qu'en dit Cinci: à un moment, on a "opté" en notre âme et conscience pour la religion catholique parce que c'était une évidence, pas un effort de volonté ou d'adaptation surhumain. Ca coulait de source, chrétien de famille ou pas, que le catholicisme était la version la plus authentique de notre versant spirituel. Si cela n'avait pas été ainsi, nous serions tous devenus autre chose; protestant, musulman, pandorien, animiste, que sais-je... et en c'est le sens de toutes les conversions, les revirements, les reconversions; chacun cherche l'expression spirituelle la plus véritable pour lui, celle qui le prend en main et le fait avancer là où il en est, avec tous ses besoins fondamentaux, affectifs, psychologiques, intellectuel, et qui prend en compte sa mentalité là où elle en est.. On choisit la religion qui nous "rejoint" au plus profond de nous, même si cela passe par des tâtonnements et des re-conversions. Cette délicatesse de Dieu, cette compétence fine, à nous toucher au plus profond de notre être parce qu'il nous rejoint là où nous sommes, avec toutes les couleurs de notre combo culture/vécu, c'est le doigt de Dieu, et c'est la raison qui fait la multiplicité des rites.
Nous en avons un exemple frappant dans les protestants, cette partie des protestants si charismatiques. Ces gens qui louent, qui prient, qui chantent, qui imposent les mains en direct à la télé et qui guérissent les enfants qu'on leur amène... C'est une façon de prier, qui les rejoint et les comble, et leurs guérisons témoignent de leur amour réel pour Dieu, qui les accueille.
A coté, la messe chez le Père Verlinde, c'est pas la même... c'est la version bénédictine et intériorisée, avec chants en latin, d'une prière toute en silence et en légèreté de l'esprit... mais cette façon de prier, Dieu aussi l'agrée et leur envoie des malades...
Un protestant adepte des chants aura peut-être du mal à se sentir touché par une messe carmélite ou bénédictine, et vice-versa.
Mais pour en revenir à nous, c'est l'authenticité de notre personne que l'on retrouve dans tout le catholicisme, enseignement, dogmes et rite qui fait qu'aujourd'hui, nous sommes catholiques; parce que Dieu nous a touché à travers celle-là de religion.
Merci Cmoi de votre pastiche, j'ai trouvé ça bien mignon et bien plus paisible que mes interventions; je venais de lire le fil en vitesse, et ça m'énerve quand je vois un truc tourner en rond... j'ai vraiment des progrès à faire coté patience...