par zélie » mar. 29 juin 2010, 16:28
Raistlin a écrit : Selon lui, il n'y a aucune preuve que les Romains pratiquaient la crucifixion à l'époque.
Ah ben, c'est vrai, c'étaient des chamallows les romains...
Pour enfoncer le clou de la question de la réalité de la crucifixion:
Témoignage évident d'une crucifixion, un gros clou de fer est enchâssé dans l'os du talon d'un jeune juif du 1er Siècle ap JC. La pointe est émoussée et courbée : peut-être a-t-elle heurté un noeud lorsqu'on l'a enfoncé dans la poutre verticale de la croix. Cette affreuse relique fut trouvée parmi d'autre ossements dans une grotte sépulcrale au nord-est de Jérusalem.du site bibliorama.fr
et aussi: Tacite, les fameuses Annales (vers 115 ap JC) relatant les suites de l'incendie de Rome:
Ce nom leur vient de Christ, que, sous le principat de Tibère, le procurateur Ponce Pilate avait livré au supplice ; réprimée sur le moment, cette exécrable superstition faisait de nouveau irruption, non seulement en Judée, berceau du mal, mais encore à Rome, où tout ce qu'il y a d'affreux ou de honteux dans le monde converge et se répand. On commença donc par poursuivre ceux qui avouaient, puis, sur leur dénonciation, une multitude immense, et ils furent reconnus coupables, moins du crime d'incendie qu'en raison de leur haine pour le genre humain. A leur exécution on ajouta des dérisions, en les couvrant de peaux de bêtes pour qu'ils périssent sous la morsure des chiens, ou en les attachant à des croix, pour que, après la chute du jour, utilisés comme des torches nocturnes, ils fussent consumés.
et c'est loin d'être le seul à parler des crimes et des tortures de crucifixion sous les Romains!
Les textes bibliques ne décrivent pas non plus comment Jésus aurait été fixé à la croix.
Ca n'enlève rien à une crucifixion, comme si on n'était à ça près; de fait c'est LA torture crainte entre toutes, et Cicéron recommande qu'entre toutes punitions, au moins la crucifixion soit interdite pour les citoyens romains, et pas pour une question d'infâmie, pour une question de douleurs et d'agonie horribles.
[quote="Raistlin"] Selon lui, il n'y a aucune preuve que les Romains pratiquaient la crucifixion à l'époque. [/quote]
Ah ben, c'est vrai, c'étaient des chamallows les romains... :zut:
Pour enfoncer le clou de la question de la réalité de la crucifixion:
[img]http://bibliorama.fr/archeo/talon_crucifie.jpg[/img]
[i]Témoignage évident d'une crucifixion, un gros clou de fer est enchâssé dans l'os du talon d'un jeune juif du 1er Siècle ap JC. La pointe est émoussée et courbée : peut-être a-t-elle heurté un noeud lorsqu'on l'a enfoncé dans la poutre verticale de la croix. Cette affreuse relique fut trouvée parmi d'autre ossements dans une grotte sépulcrale au nord-est de Jérusalem.[/i]du site bibliorama.fr
et aussi: Tacite, les fameuses Annales (vers 115 ap JC) relatant les suites de l'incendie de Rome: [i]Ce nom leur vient de Christ, que, sous le principat de Tibère, le procurateur Ponce Pilate avait livré au supplice ; réprimée sur le moment, cette exécrable superstition faisait de nouveau irruption, non seulement en Judée, berceau du mal, mais encore à Rome, où tout ce qu'il y a d'affreux ou de honteux dans le monde converge et se répand. On commença donc par poursuivre ceux qui avouaient, puis, sur leur dénonciation, une multitude immense, et ils furent reconnus coupables, moins du crime d'incendie qu'en raison de leur haine pour le genre humain. A leur exécution on ajouta des dérisions, en les couvrant de peaux de bêtes pour qu'ils périssent sous la morsure des chiens, ou en les attachant à des croix, pour que, après la chute du jour, utilisés comme des torches nocturnes, ils fussent consumés. [/i]
et c'est loin d'être le seul à parler des crimes et des tortures de crucifixion sous les Romains!
[quote]Les textes bibliques ne décrivent pas non plus comment Jésus aurait été fixé à la croix. [/quote]
Ca n'enlève rien à une crucifixion, comme si on n'était à ça près; de fait c'est LA torture crainte entre toutes, et Cicéron recommande qu'entre toutes punitions, au moins la crucifixion soit interdite pour les citoyens romains, et pas pour une question d'infâmie, pour une question de douleurs et d'agonie horribles.